Le programme de français-philosophie est le même dans toutes les filières : il s'agit chaque année de travailler sur un thème différent à partir de trois œuvres, souvent deux œuvres littéraires et une œuvre philosophique.
Sups et Spés étudient donc le même programme. Les épreuves des concours peuvent porter sur le thème de Sup, même si elles portent en général sur le thème traité en Spé.
Il est important de savoir que si l'horaire de français, comme celui de LV 1, ne représente qu'un quart de celui de mathématiques (ou de sciences physiques ou de sciences industrielles) dans l'emploi du temps des PTSI et PT, il n'en est pas de même pour les coefficients aux concours. Le total des coefficients de la LV 1 et du français est supérieur à celui des mathématiques (ou de sciences physiques ou de sciences industrielles).
Le cours, de deux heures par semaine, articule questions de méthode (résumé et dissertation) et cours sur le thème à la lumière des œuvres.
Une bonne connaissance personnelle de ces œuvres est exigée des étudiants dès la rentrée de septembre. Les étudiants s'inscrivant en PTSI et ceux entrant en PT doivent impérativement lire les trois ouvrages au programme pendant les grandes vacances et les relire au cours de l'année..
Eschyle
(-526/-456)
Spinoza
(1632/1677)
Edith Wharton
(1862/1937)
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Choderlos de Laclos
(1741/1803)
Alfred de Musset
(1810/1857)
Hannah Arendt
(1906/1975)
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Simone Weil
(1809/1843)
Virgile
(-70/-19)
Michel Vinaver
(1927/2022)
version hyper brève
"A notre petite et sympathique réunion que je me permettrai d’appeler une réunion de famille tant il est vrai que ceux qui travaillent quarante heures par semaine ensemble forment une authentique communauté j’en veux pour preuve votre présence qui n’était pas obligatoire et votre bonne humeur qui l’était encore moins"
"Tous les obstacles furent vaincus par un travail acharné et par le besoin pressant en de dures circonstances."
"Vous avez le royaume illimité des livres ; c’est loin d’être tout, mais c’est beaucoup, surtout à titre de préparation à une vie plus concrète. Je voudrais aussi vous voir vous intéresser à votre travail de classe, où vous pouvez apprendre beaucoup plus que vous ne croyez. D’abord à travailler : tant qu’on est incapable de travail suivi, on n’est bon à rien dans aucun domaine. Et puis vous former l’esprit."
H.C. Andersen
(1805/1875)
Jean Jacques Rousseau
(1844/1900)
Wole Soyinka
(1934/-)
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Livres 1 et 2
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traduction par Marc Auchet – Livre de Poche classique
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Victor Hugo
(1802/1885)
Nietzsche
(1844/1900)
Svetlana Alexievitch
(1948/-)
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Avant-Propos + Livre 4
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Livres 4 et 5
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Alexis de Tocqueville
(1805/1859)
Philippe Roth
(1933/2018)
Aristophane
(-445/-380)
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""
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Stendhal
(1783/1842)
Shakespeare
(1594/1616)
Platon
(-428/-348)
traduction de Luc Brisson, GF Flammarion, n°1598
"Éros n'est pas indistinctement beau et digne d'éloge, seul l'est l'Éros qui incite à l'amour qui est beau. Cela dit, l'Éros qui relève de l'Aphrodite vulgaire est véritablement vulgaire, en ceci qu'il opère à l'aventure ; c'est ainsi qu'aiment les gens de peu."
traduction de Jean-Michel Désprats, édition Folio Théâtre, n°81
"Je remarquai pourtant où le trait de Cupidon tomba : — il tomba sur une petite fleur d’Occident, — autrefois blanche comme le lait, aujourd’hui empourprée par sa blessure, — que les jeunes filles appellent Pensée d’amour. "
GF Flammarion, n°1424
"Fabrice oubliait complètement d’être malheureux."
Joseph Conrad
(1857/1924)
Homere
(VIII av JC)
Vladimir Jankélévitch
(1903/1985)
Chapitre 1 - collection GF.
"La vie est l’ensemble des chances qui nous soustraient journellement à la mort"
traduction Philippe Jaccottet - éditions La découverte / Poche
"J’irai sonder ces gens, apprendre qui ils sont, si ce sont des violents et des sauvages sans justice ou des hommes hospitaliers, craignant les dieux"
traduction Jean-Jacques Mayoux - collection GF
"Je n’aime pas le travail – personne ne l’aime – mais j’aime ce que le travail recèle – la chance de se trouver."
Montesquieu
(1689/1755)
Henrik Ibsen
(1828/1906)
Etienne de La Boétie
(1530/1563)
"Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l'élection du peuple, les autres par la force et les derniers par succession de race."
traduction Eloi Recoing - Babel n°1400 (Actes Sud)
"Des mains de papa j'ai passé aux tiennes; j'ai été poupée-femme chez toi, comme j'avais été poupée-enfant chez papa, je veux dire que toi et papa, vous avez été bien coupables envers moi. À vous la faute, si je ne suis bonne à rien."
"Toutes ces choses, seigneur, me jettent dans un embarras inconcevable: je ne puis remuer la tête que je ne sois menacé de vous offenser"
David Hume
(1711/1776)
Jean Racine
(1639/1699)
Honoré de Balzac
(1799/1850)
traduction Jean-Pierre Cléro - (Éditions GF Flammarion)
Eschyle
(-526/-456)
Carl von Clausewitz
(1780/1831)
henri Barbusse
(1873/1935)
Texte intégral.
"- J'dis comme toi, moi : nous oublierons, nous. Nous oublions déjà, mon pauv'vieux !
- Nous en avons trop vu !
- Et chaque chose qu'on a vue était trop. On n'est pas fabriqué pour contenir ça. Ça fout l'camp d'tous les côtés ; on est trop p'tit.
- Un peu, qu'on oublie !
- Si on s'rappelait, y aurait plus d'guerre ! "
Livre premier « Sur la nature de la guerre », traduction de Nicolas Waquet (Rivages Poche).
"La guerre n'est rien d'autre qu'un duel amplifié"
traduction de Danielle Sonnier (Garnier-Flammarion) | Texte Intégral | Téléfilm (1961)
"Adieu, Vieillards : et que même parmi les maux votre âme accueille les plaisirs de chaque jour - car pour ceux qui sont morts, de quoi sert la richesse. "
Henri Bergson
(1859/1941)
Virginia Woolf
(1882/1941)
Gérard de Nerval
(1808/1855)
"Je regagnai mon lit et je ne pus y trouver le repos. Plongé dans une demi-somnolence, toute ma jeunesse repassait en mes souvenirs. Cet état, où l'esprit résiste encore aux bizarres combinaisons du songe, permet souvent de voir se presser en quelques minutes les tableaux les plus saillants d'une longue période de la vie."
Traduction Marie-Claire Pasquier, édition Folio classique.
"La bouffée de plaisir! le plongeon! C'est l'impression que cela lui avait toujours fait lorsque, avec un petit grincement des gonds, qu'elle entendait encore, elle ouvrait d'un coup les portes-fenêtres, à Bourton, et plongeait dans l'air du dehors."
chapitre II « de la multiplicité des états de conscience. L'idée de durée »
"Car si une somme s'obtient par la considération successive de différents termes, encore faut-il que chacun de ces termes demeure lorsqu'on passe au suivant, et attende, pour ainsi dire, qu'on l'ajoute aux autres"
Platon
(-428/-348)
Marivaux
(1688/1763)
Paul Verlaine
(1844/1896)
Poésie/Gallimard (Fêtes galantes, Romances sans paroles précédé de Poèmes saturniens)
"J'arrive tout couvert encore de rosée, que le vent du matin vient glacer à mon front."
Classiques Hachette, par Michel BOUTY
"MONSIEUR REMY. - Comment donc ! M'imposer silence ! À moi, Procureur ! Savez-vous bien qu'il y a cinquante ans que je parle, Madame Argante ?
MADAME ARGANTE. - Il y a donc cinquante ans que vous ne savez ce que vous dites. "
Livre de poche, par Létitia Mouze
"Si la nature t'a doué du don de la parole, tu deviendras un orateur apprécié, à condition d'y joindre la science et l'exercice."
Eschyle
(-526/-456)
Blaise Pascal
(1623/1662)
John Steinbeck
(1902/1968)
"Alors des hommes armés de lances d'arrosage aspergent de pétrole les tas d'oranges, et ces hommes sont furieux d'avoir à commettre ce crime et leur colère se tourne contre les gens qui sont venus pour ramasser les oranges. Un million d'affamés ont besoin de fruits, et on arrose de pétrole les montagnes dorées. Et les enfants atteints de pellagre doivent mourir parce que chaque orange doit rapporter un bénéfice."
"Il est juste que ce qui est juste soit suivi, il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi. La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique"
"Sois-moi témoin, Apollôn ! Ne l'ai-je point tuée légitimement ? Car je ne nie pas que je l'aie tuée. Penses-tu que son sang ait été légitimement versé ? "
Jean Giono
(1895/1970)
W. Shakespeare
(1564/1616)
J.J. Rousseau
(1712/1778)
« Émile ou de l'éducation » Livre 4ème (de la 1ère partie jusqu'à « J'ai fait ce que j'ai pu pour atteindre à la vérité; mais sa source est trop élevée : quand les forces me manquent pour aller plus loin, de quoi puis-je être coupable? C'est à elle à s'approcher.»
"Homme, ne cherche plus l'auteur du mal; cet auteur, c'est toi-même. Il n'existe point d'autre mal que celui que tu fais ou que tu souffres, et l'un et l'autre te vient de toi. Le mal général ne peut être que dans le désordre, et je vois dans le système du monde un ordre qui ne se dément point. Le mal particulier n'est que dans le sentiment de l'être qui souffre; et ce sentiment, l'homme ne l'a pas reçu de la nature, il se l'est donné."
Traduction Pierre-Jean Jouve - préface G. Wilson Knight - Editions Garnier-Flammarion
"[Je suis] .. un homme tellement accablé de désastres, tellement surmené par la fortune, que je jouerais ma vie sur un hasard pour l'améliorer ou la perdre."
"Ce qui faisait la force de son âme, c'est qu'elle avait une fois pour toutes trouvé une "marche à suivre". La vérité ne comptait pas. Rien ne comptait que d'être la plus forte et de jouir de la libre pratique de la souveraineté."
Georg Simmel
(1858/1918)
Molière
(1622/1673)
Emile Zola
(1840/1902)
Garnier Flammarion
"L’argent, empoisonneur et destructeur, devenait le ferment de toute végétation sociale, servait de terreau nécessaire aux grands travaux dont l’exécution rapprocherait les peuples et pacifierait la terre. Elle avait maudit l’argent, elle tombait maintenant devant lui dans une admiration effrayée"
Garnier Flammarion
"Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami ! On m'a privé de toi ; et puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi, il m'est impossible de vivre."
Partie analytique - 3ème chapitre - sections 1 et 2. traduction Sabine Cornille et Philippe Ivernel PUF Quadrige
"L'argent permet de faire équivaloir l'ensemble des objets disponibles dans le monde. S'élevant comme une abstraction au-dessus du monde social, il occupe le centre où les choses les plus opposées, les plus étrangères, les plus éloignées trouvent leur point commun et entrent en contract. L'argent devient alors un équivalent fonctionnel de l'idée de dieu."
Michel Leiris
(1901/1990)
Saint Augustin
(354/430)
Alfred de Musset
(1810/1857)
"Suis-je un Satan ? Lumière du ciel ! je m'en souviens encore ; j'aurais pleuré avec la première fille que j'ai séduite, si elle ne s'était mise à rire. Quand j'ai commencé à jouer mon rôle de Brutus moderne, je marchais dans mes habits neufs de la grande confrérie du vice, comme un enfant de dix ans dans l'armure d'un géant de la Fable. Je croyais que la corruption était un stigmate, et que les monstres seuls le portaient au front. J'avais commencé à dire tout haut que mes vingt années de vertu étaient un masque étouffant ; ô Philippe ! j'entrai alors dans la vie ; et je vis qu'à mon approche tout le monde en faisait autant que moi ; tous les masques tombaient devant mon regard ; l'humanité souleva sa robe, et me montra, comme à un adepte digne d'elle, sa monstrueuse nudité. J'ai vu les hommes tels qu'ils sont, et je me suis dit : Pour qui est-ce donc que je travaille ?"
Traduction d’Arnaud-d’Andilly, collection Folio classique, éditions Gallimard
"Et quand même je vous fermerais mon coeur, que pourrais-je vous dérober? Vos yeux, Seigneur, ne voient-ils pas à nu l’abîme de la conscience humaine? C’est vous que je cacherais â moi-même, sans me cacher à vous. Et maintenant que mes gémissements témoignent que je me suis en dégoût, voilà qu’aimable et glorieux vous attirez mon coeur et mes désirs, afin que je rougisse de moi, que je me rejette et vous élise; afin que je ne trouve grâce devant moi-même, comme devant vous, que grâce à vous."
"Agé de cinq ou six ans, je fus victime d'une agression. Je veux dire que je subis dans la gorge une opération qui consista à m'enlever des végétations; [...] je ne me souviens de rien, sinon de l'attaque soudaine du chirurgien qui plongea un outil dans ma gorge, de la douleur que je ressentis et du cri de bête qu'on éventre que je poussai. [...] Toute ma représentation de la vie en est restée marquée: le monde, plein de chausse-trapes, n'est qu'une vaste prison ou salle de chirurgie; je ne suis sur terre que pour devenir chair à médecins, chair à canons, chair à cercueil; comme la promesse fallacieuse de m'emmener au cirque ou de jouer à faire la cuisine, tout ce qui peut m'arriver d'agréable en attendant n'est qu'un leurre, une façon de me dorer la pilule pour me conduire plus sûrement à l'abattoir où, tôt ou tard, je dois être mené."
Chateaubriand
(1768/1848)
Karl Marx
(1818/1883)
Pierre Corneille
(1606/1684)
Edition conseillée (si vous n'en avez pas déjà une autre): Jean-Pierre Chauveau (Collection Folio / théâtre chez Gallimard).
"Rome, l'unique objet de mon ressentiment !
[...] Que le courroux du ciel allumé par mes voeux
Fasse pleuvoir sur elle un déluge de feux !
Puissé-je de mes yeux y voir tomber ce foudre,
Voir ses maisons en cendre, et tes lauriers en poudre,
Voir le dernier Romain à son dernier soupir,
Moi seule en être cause, et mourir de plaisir !"
Traduction M. Rubel-Gallimard, Folio Histoire, éditions Gallimard .
Marx analyse ' l'histoire immédiate ' du coup d'État qui, le 2 décembre 1851, porte le neveu de Napoléon à la tête de ce qui va devenir le Second Empire. En plaçant le coup d'État dans son contexte économique, social et culturel, Marx dévoile la nature d'un état vampire, animé par une caste de bureaucrates surnuméraires qui dévore la société civile. Une intelligence claire des événements, au moment même où ils se déroulent.
Livres IX à XII inclus.
"Je me suis rencontré entre deux siècles comme au confluent de deux fleuves; j'ai plongé dans leurs eaux troublées m'éloignant à regret du vieux rivage où je suis né, nageant avec espérance vers une rive inconnue."
Proust
(1871/1922)
Malebranche
(1638/1715)
Cervantès
(1547/1616)
traduction d'Aline Schulman, jusqu'au chapitre XXXII (inclus). Collection Points : P 919.
« [...] Il avait à toute heure et à chaque instant l'imagination remplie des combats, des défis, des enchantements, des aventures, des amours, bref, de ces absurdités que l'on trouve dans les romans de chevalerie, et tout ce qu'il disait, pensait ou faisait n'avait d'autre but que de s'y conformer » (p. 187).
Livre II, parties II et III, Editions Pocket Agora
Ce philosophe consulte, contemple à chaque instant le Verbe divin... Et tout ce qui détourne du " soleil des esprits " (Dieu) doit être condamné. Malebranche n'a donc de cesse de dénoncer le pouvoir de l'IMAGE, ces IMAGES qui contaminent plus qu'elles n'instruisent. Sur ce point précis, notre monde actuel aurait encore des enseignements à tirer de «De la recherche de vérité».
Dans «Du côté de chez Swann», édition Folio : N° 1924.
Proust nous offre une plongée dans l'imagination aliénante et destructrice d'un jaloux pathologique: « Dire que j'ai gâché des années de ma vie, que j'ai voulu mourir, que j'ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n'était pas mon genre ! ».
Tchekhov
(1860/1904)
Sénèque
(-4/65)
Le Clézio
(1940/)
Vous pourrez, en ouvrant ce livre, entrouvrir aussi la porte étroite... celle du bonheur... Et vous ferez le plus beau des voyages, un voyage duquel vous reviendrez plus riche pour presque rien : là-bas... ici... ailleurs... en vous...
Traduction de François Rosso, Éditions Arléa.
Sénèque est un moraliste, plutôt qu'un philosophe. Il croit que la matière est gouvernée par un esprit et s'efforce de mener la pensée de l'homme vers la divinité. La sagesse, pense-t-il, est un entraînement de la volonté à mettre le bonheur dans la vertu plutôt que dans les hasards de la fortune.
Traduction d'André Markowicz et Françoise Morvan, Éditions Actes Sud Babel.
Force est de constater que jamais il n’y a une conversation normale dans une pièce de Tchekhov, il y a toujours deux monologues, croisés à la rigueur, mais jamais une conversation. En cela encore on peut considérer que Tchekhov a ouvert la voie à la dramaturgie moderne.
Français A : durée 4 heures.
L’épreuve consiste en une dissertation qui porte sur le programme annuel de français et de philosophie. Le candidat sera invité à réfléchir méthodiquement sur un sujet, à montrer ses qualités de synthèse en s’appuyant sur les œuvres au programme. Il sera tenu compte de la rigueur de la composition, la correction et la précision de la langue.
Français B : durée 4 heures.
L’épreuve est constituée de deux parties. La première consiste en un résumé de texte lié à l’un des thèmes du programme, d’environ 1500 mots. Ce texte, saisissable sans connaissances spécialisées, doit être résumé en 200 à 300 mots. En seconde partie, à partir d’une question se rattachant au texte, le candidat devra construire une réponse argumentée et personnelle. Il sera tenu compte de la correction et de la précision de la langue. Ces deux parties de l’épreuve seront respectivement notées : résumé sur 8 points et discussion sur 12 points.
Nos élèves participent chaque année au concours d'éloquence inter-lycées d'Annecy : épreuves orales d'improvisation. Ils ont régulièrement fini sur le podium, et même gagné en 2013.